La FFIE est la fédération des électriciens, adhérente de la FFB. Elle fédère environ 4500 entreprises sur le territoire national. Cela représente une moyenne de 100 000 actifs et 14 milliards de chiffre d’affaires. La région Rhône-Alpes Auvergne pèse pour environ 15% au sein de la FFIE.
Ses missions sont multiples : représenter, conseiller, former, organiser une veille et participer à la vie des organismes présidant aux ‘’destinées de nos métiers et spécialités’’ (CONSUEL, QUALIFELEC, PROMOTELEC, AFNOR, commissions sociales, SVDI…).
Chaque département dispose d’une section locale relayant l’action nationale auprès des entreprises sous la houlette d’un Président départemental. Un Délégué régional a pour mission d’animer les départements tout en faisant le lien avec Paris.
Quant à la région Auvergne Rhône-Alpes, elle est dynamique et innovatrice L’activité y est globalement bonne, même si très irrégulière ces dernières années et disparate selon les départements. Tous les profils d’entreprises sont représentés : de nombreux artisans, des TPE et PME, et tous les grands groupes au travers d’agences ou de filiales, ce qui génère une très forte concurrence quelle que soit la taille des projets. Autre particularité, l’écart constaté entre les entreprises dans une région immense, avec des différences évidentes entre le Massif Central et le Pays de Gex par exemple. Mais chaque année, on constate l’adhésion de nouvelles entreprises, jeunes, innovantes, dirigées par des entrepreneurs pleins d’optimisme.
Nombre de nos adhérents réfléchissent à orienter leur business vers les nouveaux marchés : les ENR, l’autoconsommation, les bâtiments à énergie positive, la GTB, les technologies de la sécurité, de la sûreté, le bâtiment connecté. Ils regardent aussi vers de nouveaux modes de dévolutions de marchés, en Groupements, en Macrolots, dans le cadre de CREM (conception, réalisation, exploitation, maintenance) ou de CPE (contrat de performance énergétique) en se posant en experts des composantes du Génie électrique et énergétique, ou encore par des offres RGE.
Face aux enjeux de demain, il ne faut rien s’interdire. Il faut oser, partager, se rapprocher des confrères afin d’échanger sur toutes ces techniques et ces évolutions de nos métiers. Il faut par exemple miser sur les jeunes, donner échos à la formation par alternance, qui permet de former les futurs collaborateurs. Ou encore participer à la vie locale des fédérations car c’est une manière de faire évoluer les métiers, de défendre nos droits et nos intérêts, de faire valoir notre place dans l’acte de construire.
La FFIE Auvergne Rhône Alpes, un secteur dynamique / Philippe Boni
La FFIE est la fédération des Electriciens, adhérente de la FFB. Elle fédère environ 4500 entreprises sur le territoire national, cela représente environ 100 000 actifs et 14 Milliards de Chiffre d’Affaires. Sans entrer trop dans les détails de chiffres, la région Rhône-Alpes Auvergne pèse pour environ 15% au sein de la FFIE. Ses missions sont multiples :
- représenter le secteur de la construction au niveau des instances politiques, sociales, ou techniques, en France (à tous les échelons administratifs) et européens ;
- conseiller les adhérents dans les domaines techniques, business et organisationnels ;
- former, en participant au plus niveau à l’élaboration des programmes quel qu’en soit le niveau ou l’objet ;
- organiser une veille technologique de tous les instants ;
- participer activement, au travers des mandats portés par ses administrateurs, à la vie des organismes présidant aux ‘’destinées de nos métiers et spécialités’’, CONSUEL, QUALIFELEC, PROMOTELEC, AFNOR, commissions sociales, SVDI, …
Chaque département dispose d’une section locale relayant l’action nationale auprès des entreprises sous la houlette d’un Président départemental, et un Délégué Régional a pour mission d’animer les départements tout en se posant en trait d’union entre Paris et ces départements, explique, Philippe Boni Délégué Régionale de la FFIE.
Quant à la région Auvergne Rhône-Alpes, « elle est dynamique et innovatrice L’activité y est globalement bonne, même si très irrégulière ces dernières années et de façon assez disparate en fonction des départements. Tous les profils d’entreprises sont très représentés, de nombreux artisans, des TPE et PME, et tous les grands groupes au travers d’agences ou de filiales, ce qui génère une très forte concurrence quel que soit la taille des projets. Autre particularité, l’écart constaté entre les entreprises dans une région immense, avec des différences évidentes entre le Massif Central et le Pays de Gex par exemple. Mais chaque année, on constate l’adhésion de nouvelles entreprises, jeunes, innovantes, dirigées par des entrepreneurs pleins d’optimisme ».
Des adhérents qui regardent vers demain
« Nombre de nos adhérents réfléchissent à orienter leur business et leur entreprise vers les nouveaux marchés, les ENR, l’autoconsommation, les bâtiments à énergie positive, la GTB, les technologies de la sécurité, de la sûreté, la vidéo-surveillance, le bâtiment connecté au travers des objets connectés. Ils regardent aussi vers de nouveaux modes de dévolutions de marchés, en Groupements, en Macrolots, dans le cadre de CREM (conception réalisation exploitation maintenance) ou de CPE (contrat de performance énergétique) en se posant en experts des composantes du Génie électrique et énergétique, ou encore par des offres RGE ».
Alors face aux enjeux de demain, Philippe Boni « conseille de ne rien s’interdire, d’oser, de partager et d’être très ouvert aux autres entreprises, de ne pas hésiter à se rapprocher de confrères afin de pouvoir échanger sur toutes ces techniques, et ces évolutions de nos métiers. De miser sur les jeunes, de donner échos à la formation par alternance, meilleur moyen de former les futurs collaborateurs et de les intégrer dans une équipe, de participer à la vie locale de nos fédérations car c’est aussi une manière de faire vivre et évoluer nos métiers, de défendre nos droits et nos intérêts, de faire valoir notre place dans l’acte de construire ».